Tesla fait plus fort que Apple avec son téléphone qui se recharge sans électricité
Découvrez en exclusivité les dernières informations sur le téléphone Tesla d’Elon Musk et les rumeurs sur le Tesla Model Pi 5G 2023.
C’est officiel ! Le futur téléphone Tesla créé par Elon Musk va bientôt voir le jour. Alors que son nom et sa date de sortie circulent déjà, de nouvelles rumeurs circulent autour de son design, de ses options techniques et de son prix !
Tout savoir sur le nouveau téléphone Tesla
Depuis un certain temps, le monde de la technologie est en effervescence. Et pour cause… Elon Musk a annoncé la sortie d’un mystérieux téléphone Tesla.
Baptisé Tesla Model Pi 5G 2023, ce smartphone suscite autant de fascination que de questions. Sans surprise.
Le téléphone Tesla se positionne comme un produit qui va révolutionner le marché. Il se pourrait même qu’il fasse concurrence aux iPhones de chez Apple ! Ce n’est donc pas rien.
Malheureusement, Elon Musk en a très peu dit sur le sujet. À ce jour, peu d’informations ont été données sur ce nouveau téléphone Tesla.
La question que tous les fans se posent ? Celle du design du téléphone Tesla. Les rumeurs vont bon train, mais aucune certitude n’émerge.
Les vidéos de 2022 déjà parues sont décryptées à la loupe. Certains fans évoquent alors une amélioration par rapport à l’iPhone.
Cependant, Elon Musk veut faire dans la créativité. Il ne souhaite pas emprunter les sentiers déjà foulés par Apple. La véritable nature du design du Tesla Model Pi 5G 2023 reste donc, pour le moment, un secret bien gardé.
On sait tout de même déjà que l’écran aura une taille de 6,7 pouces avec une résolution de 1284 x 2778 pixels. Il promet ainsi une expérience visuelle ultra immersive.
La batterie, quant à elle, sera de 4700 mAh. Entièrement solaire, elle ajoute une dimension écologique en permettant le rechargement à la lumière du jour.
Des rumeurs évoquent également une connexion au réseau mobile distribué de Starlink et des capacités de commande par la pensée grâce à un implant. Ce n’est donc pas rien.
Ces options doivent toutefois être confirmer par les équipes d’Elon Musk. Affaire à suivre donc…
Disponible avant la fin de l’année 2023 ?
Le smartphone Tesla N’EN plus de faire le buzz sur la Toile. Tous les fans comptent les jours et ont hâte de découvrir cette nouvelle pépite.
Un agriculteur installé au cœur du vignoble de Vaison-la-Romaine est poursuivi en justice par un voisin. Propriétaire de gîtes haut de gamme, à 2 km de la ferme de Vincent Blanc, il estime que la présence « d’engins agricoles engendre une pollution visuelle ».
À vol d’oiseau, sa ferme est à deux kilomètres des luxueux gîtes plantés en haut d’un vallon, avec vue plongeante sur le vignoble de la plaine vaisonnaise (dans le Nord Vaucluse). Une véritable image de carte postale quand l’automne teinte les feuilles d’ocre.
Dans le creux de la vallée, se dessine l’exploitation agricole de Vincent Blanc installée depuis 1996. Vigneron et prestataire de services, il entrepose sur son terrain, à l’arrière de sa ferme, une moissonneuse-batteuse, de gros tracteurs, des camions, des machines à vendanger… Des engins indispensables à l’exercice de son activité.
Il y laisse également les gravats issus des travaux de restauration de sa ferme. Autant d’objets qui ne sont pas du goût de son voisin. Et les ennuis ont commencé en 2020, quatre ans après l’achat du vieux mas de pierre…
Conflit de voisinage : le bruit et l’odeur de ses vaches gênaient, la condamnation d’un éleveur confirmée
Cette décision de justice pour un éleveur de l’Oise intervient trois jours après que les députés ont adopté une proposition de loi transpartisane limitant les recours pour conflits de voisinage.
La Cour de cassation a rejeté ce jeudi 7 décembre le pourvoi d’un agriculteur de l’Oise condamné à verser plus de 100 000 euros de dommages et intérêts à des riverains se plaignant du bruit et de l’odeur de ses vaches. La Cour de cassation a jugé dans son arrêt, que les nuisances « excédaient, par leur nature, leur récurrence et leur intensité, les inconvénients normaux du voisinage ».
Condamnation confirmée pour Vincent Verschuere
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La Cour de cassation a rejeté, ce jeudi 7 décembre, le pourvoi en cassation de Vincent Verschuere. Cet éleveur laitier de l’Oise a été condamné en mars 2022, par la Cour d’appel d’Amiens, à verser plus de 100 000 € de dommages et intérêts à des voisins pour « troubles anormaux de voisinage ». (Article mis à jour le 7/12/23 à 16 h 00)
« Je savais que les chances étaient minces, mais j’avais quand même un petit espoir, là tous mes espoirs sont anéantis. C’est un gros coup au moral », nous confie Vincent Verschuere, éleveur laitier dans l’Oise. La Cour de cassation, réunie le 24 octobre, a en effet confirmé, ce jeudi 7 décembre 2023, la condamnation de l’EARL Verschuere, en mars 2022 par la Cour d’appel d’Amiens. L’exploitation doit verser 106 000 € de dommages et intérêts à un collectif de riverains le poursuivant pour « troubles anormaux de voisinage ».
En octobre 2022, l’éleveur avait déposé un pourvoi en cassation pour demander l’annulation de la décision judiciaire. Il espérait « une cassation pour défaut de base légale », selon son avocat Me Timothée Dufour, puisque la Cour d’appel n’a pas pris en compte la loi de 2021 qui fait entrer les sons et les odeurs dans le patrimoine sensoriel des campagnes. Sachant que lundi justement, les députés ont adopté une proposition de loi destinée à limiter les conflits de voisinage et les dépôts de plaintes de néo-ruraux à l’encontre des agriculteurs.
Le producteur nous dit « devoir repartir devant le tribunal de grande instance de Beauvais, afin que celui-ci statue sur les aménagements proposés » en plus de ceux déjà effectués. Autrement dit : « l’isolation du bâtiment côté riverains et l’installation d’un nouveau système de ventilation », précise-t-il. « Cela représenterait encore un investissement de 100 000 à 150 000 €. »
« Soit ils seront suffisants, soit le juge imposera un changement de destination ou la démolition du bâtiment, auquel cas on ne pourra plus accueillir de cheptel, explique Vincent Verschuere, qui ne voit pas quoi faire de plus. Mon activité, basée sur la production laitière, serait totalement remise en cause. Je n’ai pas de terrain ailleurs. De toute façon, on ne déplace pas stabulation, salle de traite et fosse comme ça ! Et je ne pourrais pas refinancer une construction. »
En mars 2022, quelques jours après le jugement de la Cour d’appel d’Amiens, la rédaction était allée à la rencontre de l’éleveur, sur son exploitation, Vincent Verschuere nous confiait alors son incompréhension, son désarroi, sa colère :
Cette décision constitue un nouveau rebondissement dans un dossier à tiroirs particulièrement complexe. Tout commence à l’automne 2018, lorsque Mme Aouimeur prend les rênes du régime AGS, un organisme de protection sociale au fonctionnement très atypique. Il permet aux salariés de sociétés battant de l’aile ou liquidées de continuer à être payés. L’argent est mis à disposition de mandataires judiciaires qui le redistribuent ensuite aux travailleurs concernés. Le dispositif est gouverné par une association patronale, tout en étant rattaché à l’Unédic, l’association paritaire qui gère l’assurance-chômage.
Le scandale de la disparition de 7 milliards d’euros de l’association patronale de garantie des salaires embarrasse l’Unédic
Des milliards évaporés sans que personne ne s’inquiète. Des salariés qui portent plainte après avoir découvert qu’une partie de l’argent du fonds de garantie patronal ne leur est pas parvenue. Les révélations de l’ex-directrice du régime de garantie des salaires ont conduit à l’ouverture d’une enquête. Mais tout est fait pour décrédibiliser Houria Aouimeur-Milano.
Huit mois après le début d’une procédure en référé devant le tribunal des prud’hommes de Paris, Houria Aouimeur-Milano a été déboutée mardi dernier de sa demande de reconnaissance de statut de lanceuse d’alerte. Une déconvenue judiciaire pour l’ancienne directrice nationale de la délégation Unédic AGS (DUA), débarquée voilà dix mois pour « faute lourde » par l’Unédic, alors qu’aucune pièce du dossier n’établit une telle accusation.
Mais ceux qui ont eu l’occasion de croiser ces dernières années cette dame de fer, chargée de mettre de l’ordre dans cet organisme cogéré par l’Unédic et le Medef, dont la mission est de garantir les salaires des entreprises en difficulté, le savent : Houria Aouimeur-Milano n’est pas femme à baisser les bras. Elle en a vu d’autres. Intimidations. Menaces. Harcèlement moral. Et maintenant, harcèlement judiciaire ? Regard assuré, voix ferme, elle se dit « sereine » et bien décidée à interjeter appel. « Je ne vais pas m’arrêter. Je suis déterminée à aller jusqu’au bout de ma démarche. » Peu importe que la justice lui refuse le statut de lanceur d’alerte.
Autoroute sans barrière de péage : des milliers d’impayés
180.000 trajets non payés : les couacs du premier péage en « flux libre » de France
Source : JT 13h Semaine
Il y a tout juste un an, le premier péage sans barrière était installé en France, sur la nouvelle autoroute A79 reliant Montmarault (Allier) à Digoin (Saône-et-Loire).Mais pour l’heure, l’expérience est loin d’être probante, entre trajets non payés et automobilistes déroutés par le fonctionnement du dispositif.Une équipe de TF1 s’est rendue sur place.
Fini les barrières à péage et les arrêts. Pour les automobilistes, l’autoroute A79, qui relie Montmarault (Allier) à Digoin (Saône-et-Loire), a tout pour plaire. « C’est un avantage pour fluidifier le trafic », acquiesce ainsi un conducteur face à la caméra de TF1, dans le reportage visible en tête de cet article.
Mais pour ceux qui découvrent ce tronçon, c’est une tout autre histoire. C’est le cas d’automobilistes venus de Lyon. Pour eux, ce péage devenu invisible, et appelé « péage en flux libre », est plutôt déroutant. « Comment on fait ? On n’a pas d’infos », déplore l’un d’eux.
Le paiement doit se faire en ligne sur un site dédié dans les 72 heures maximum après votre passage, ou sur une des 16 bornes placées sur les aires d’autoroute. Mais lorsque nous filmons, pas de chance : il est impossible de s’enregistrer à la borne. « Est-ce que c’est la borne ? Est-ce que c’est ma plaque ? Je ne sais pas », s’interroge le conducteur.
Pour un touriste venu de Hong Kong, l’incompréhension est, là encore, totale, et l’agacement bien présent. « Je ne sais pas s’il faut payer ou ne pas payer. C’est quelque chose d’un peu fou », fustige-t-il. Résultat : pour enregistrer sa voiture de location à la borne, il aura eu besoin de deux personnes autour de lui.
La majorité des litiges ne seraient pas volontaires
Au total, depuis le lancement du « péage en flux libre » sur cette autoroute, près de 180.000 automobilistes n’ont pas réglé, volontairement ou non, leurs trajets. Par ailleurs, selon Le Parisien, 80.000 dossiers de pénalité se sont accumulés et 600.000 « courriers pédagogiques » ont été envoyés aux mauvais payeurs. Certains se voient même frappés d’importantes majorations, qui peuvent grimper jusqu’à 375 euros.
Guillaume Hérent, directeur général d’APRR (dont la filiale Aliéa est la concessionnaire de l’autoroute), précise toutefois au journal francilien que sur les 8 millions de trajets enregistrés durant l’année écoulée, « les litiges ne concernent que 5% des utilisateurs. » D’après lui, « ce sont principalement des gens qui n’ont pas le badge de télépéage. »
L’entreprise a par ailleurs augmenté le délai octroyé aux mauvais payeurs, qui pourraient aussi être autorisés, en 2024, à régler le péage auprès de commerçants locaux partenaires de l’opération dans l’Allier.
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En 2024, les autoroutes A13 et A14 fonctionneront sur le même principe que l’A79. À un détail près : l’entrée sur l’autoroute sera bien libre, mais il y aura une barrière de péage à la sortie pour éviter tous ces oublis de paiement. Enfin, à terme, « toutes les nouvelles autoroutes construites en France seront dotées du système flux libre », indique le directeur général d’APRR.
Un milliardaire anonyme recherche un couple prêt à vivre sur une île privée (avec un salaire de 184 000 euros)
Un milliardaire anonyme recherche un couple prêt à vivre sur une île privée (avec un salaire de 184 000 euros)
Un milliardaire qui n’a pas dévoilé son identité recherche un couple pour s’occuper de sa future oasis de luxe sur son île privée. Située dans les Caraïbes, l’île s’apprête à se transformer pour recevoir des touristes et des investisseurs d’ici un an. Le couple choisi devra régulièrement poster sur les réseaux sociaux pour promouvoir la beauté du lieu et le futur complexe hôtelier.
Envie de tout plaquer et de partir au soleil avec votre partenaire sur une île ? C’est ce que propose comme job l’agence londonienne Fairfax and Kensington pour un « mystérieux » milliardaire qui n’a pas dévoilé son identité. Le couple choisi sera payé 160 000 livres, soit environ 184 000 euros pour vivre un an sur l’île du milliardaire qui se situe dans la mer caribéenne dans les îles vierges britanniques. Alors là on imagine déjà très bien l’eau translucide, le bruit des vagues, une vue à couper le souffle et la liberté. Cependant, il faudra remplir des missions précises, comme l’indique le New York Post.
Devenez influenceur·euse à l’autre bout du monde
Effectivement, ce job de rêve requière un minimum de compétences : l’heureux couple aura un an pour transformer l’île en une oasis de luxe à part entière et raconter sur les réseaux sociaux comment se passent les travaux. « C’est le rôle ultime de l’influenceur. Le propriétaire veut mettre l’accent sur la beauté du lieu », indique George Ralph Dunn de Fairfax and Kensington, rapporte le NY Post. Le couple devra donc inonder ses réseaux sociaux de la transformation de l’île « du premier jour avec la base d’un futur chantier jusqu’à, espérons, la plus grosse partie du travail accompli un an plus tard », poursuit-il. Pour postuler, il faut envoyer une vidéo TikTok pour vous présenter avec les #barefootluxurybvi #fairfaxandkensington.
Il n’y a pas besoin d’avoir de l’expérience dans la construction
Sachez que le duo sélectionné n’aura pas à se servir des outils ou construire des murs. Ces missions seront accomplies par des personnes qualifiées : le directeur général et les ingénieurs de la propriété. Le couple devra cependant s’occuper des évènements, du marketing et de l’intendance lorsque l’hôtel recevra ses premiers invités et de futurs investisseurs. D’ailleurs le concept du lieu est assez inédit : tout le monde devra être pieds nus. Si vous avez envie de postuler, il est préférable que vous ayez une expérience dans l’univers du luxe, de maîtriser les codes des réseaux sociaux et avoir l’esprit d’aventure. L’offre d’emploi prévoit un billet d’avion retour dans l’année et quatre semaines de vacances qui peuvent se passer sur une des îles voisines. Alors ?
Deux cellules de batterie comestibles reliées en série afin d’alimenter une LED / Image : Fig. 4 de l’étude.
La preuve du concept de batterie rechargeable et comestible vient tout juste d’être faite. C’est une première. Et contrairement à ce que l’on pourrait être tenté de penser, les applications pourraient être tout aussi nombreuses que sérieuses.
Une batterie comestible ? Les chercheurs ont vraiment parfois de drôles d’idées, vous dites-vous peut-être ? Et bien, détrompez-vous. Car une batterie comestible, ça peut s’avérer… drôlement utile. Pour faire fonctionner des systèmes électroniques, eux aussi comestibles. Des systèmes destinés à veiller sur ce qui se passe à l’intérieur de notre corps, par exemple, et à remplacer ainsi des examens invasifs, douloureux et coûteux. Ou encore des systèmes qui permettent de surveiller la qualité des aliments pour limiter le gaspillage et les intoxications alimentaires. Des systèmes de ce genre, les chercheurs espèrent en développer depuis quelques années déjà. Mais, ils leur manquaient un élément essentiel : une source d’alimentation. Une batterie. Rechargeable, de préférence.
Des composés retrouvés dans les pommes et amandes
La solution dont des chercheurs de l’Institut italien de technologie viennent de faire la preuve de concept, une grande première, repose uniquement sur des matériaux qui peuvent être consommés en grande quantité en toute sécurité. Des matériaux qu’ils ont utilisés pour fabriquer tous les éléments très classiques d’une batterie.
Une anode en riboflavine — de la vitamine B2 comme on en trouve dans les amandes, par exemple — et une cathode en quercétine — un élément que l’on trouve dans les pommes, par exemple. Une solution à base d’eau pour l’électrolyte et du charbon actif pour augmenter la conductivité. Mais aussi des algues nori pour éviter les courts-circuits. Et enfin, des contacts en or de qualité alimentaire — comme celui qu’utilisent parfois les pâtissiers —, un support dérivé de la cellulose et de la cire d’abeille pour encapsuler le tout.
Des batteries comestibles bientôt dans nos smartphones ?
Fabriquée à partir d’éléments simplement achetés au supermarché, la batterie présentée fonctionne à 0,65 V. Une tension suffisamment basse pour ne pas créer de problèmes à ceux qui l’ingèrent. Elle peut fournir 48 microampères (µA) pendant 12 minutes, soit une capacité de stockage totale de… 6,24 µWh : c’est plusieurs millions de fois moins qu’une batterie de smartphone ! De quoi tout de même alimenter de petits appareils électroniques, comme des LED basse consommation, pendant un temps limité. Et elle peut être rechargée… tant qu’elle n’a pas été ingérée.
L’autre intérêt de ces travaux, c’est qu’ils pourraient ouvrir la voie à des batteries du même type plus puissantes. Des batteries capables d’alimenter un smartphone ou un jouet pour enfant. Sans risque pour sa santé en cas d’ingestion accidentelle et à partir de matériaux plus sûrs que les batteries lithium-ion actuelles.
Alerte ! Percée scientifique : un matériau vivant imprimé en 3D pour une eau potable éternellement pure !
Les scientifiques ont réussi à mettre au point un matériau polymère avec un système biologique imprimé en 3D qui possède un grand potentiel durable et écologique et est capable d’éliminer les polluants de l’eau.
Une équipe de chercheurs de l’Université de Californie à San Diego (UCSD) a créé un « matériau vivant » imprimé en 3D pour éliminer les polluants organiques de l’eau et la rendre potable. De plus, cette découverte est révolutionnaire car ce matériau a un grand potentiel et est à la fois écologique et durable.
Dabika Datta, chercheur au Département de Nanoingénierie de l’UCSD et auteur principal de l’article publié il y a quelques semaines dans la revue Nature, explique : « Bien qu’il s’agisse d’un système relativement simple, ce que nous et notre équipe de scientifiques avons réalisé est une nouvelle stratégie révolutionnaire qui pourrait nous aider à nettoyer les contaminants de l’eau ».
Rappelons qu’au moins 2,2 milliards de personnes dans le monde n’ont pas accès à l’eau potable et 400 millions sont obligées de puiser de l’eau dans des puits et des sources non protégées ou de la recueillir directement dans des lacs, des étangs, des rivières et des ruisseaux sans aucun traitement préventif avant la consommation, risquant ainsi de contracter de multiples maladies.
L’importance de cette découverte scientifique est évidente, tout comme les opportunités qu’elle ouvre pour l’avenir, contribuant à atteindre l’accès universel et équitable à l’eau sûre et à un coût abordable,comme le stipule l’un des 17 Objectifs de Développement Durable (ODD 6).
Jon Pokorski, professeur de nanoingénierie à l’UCSD et membre de ce groupe de recherche, déclare : « L’aspect innovant est la combinaison d’un matériau polymère avec un système biologique pour créer un ‘matériau vivant’ qui peut fonctionner et répondre aux stimuli de manière que les matériaux synthétiques normaux ne peuvent pas faire ».
Créer un « matériau vivant » avec des propriétés dépolluantes pour l’eau
L’article de recherche mentionné, intitulé « Phenotypically complex living materials containing modified cyanobacteria », explique que le domaine des « matériaux vivants ingénierisés » se situe à l’intersection entre la science des matériaux et la biologie synthétique. Il vise à développer des matériaux capables de percevoir et de répondre à leur environnement.
Dans cette étude, les chercheurs ont utilisé l’impression 3D pour fabriquer un biocomposite cianobactérien capable de produire de multiples résultats fonctionnels en réponse à un stimulus chimique externe, démontrant ainsi les avantages de l’utilisation de techniques de production additive pour contrôler la forme du matériel photosynthétique fabriqué.
Comme preuve de concept initiale, ils ont utilisé un riboswitch synthétique (un segment d’ARN messager d’une cellule bactérienne qui reconnaît et se lie à une petite molécule impliquée dans le métabolisme normal de la cellule) pour réguler l’expression d’une protéine indicatrice fluorescente jaune dans Synechococcus elongatus PCC 7942, au sein d’une matrice d’hydrogel.
Une souche de S. elongatus a été modifiée pour produire une enzyme laccase oxydative, qui peut être utilisée pour neutraliser certains polluants organiques tels que les antibiotiques, les médicaments, les colorants, etc. Dans ce cas, les scientifiques ont utilisé leur biomatériau sensible pour démontrer qu’il était capable de « décontaminer » l’eau du colorant indigo carmin.
Ils ont utilisé un polymère naturel dérivé des algues, l’alginate, qui a été hydraté pour former un gel, puis mélangé avec des cianobactéries, un type de bactéries photosynthétiques qui vivent dans l’eau, qu’ils avaient préalablement modifiées génétiquement pour produire une enzyme capable de transformer les polluants organiques en molécules bénignes. Ainsi, ils ont réussi à décolorer un contaminant courant dans les teintures textiles.
En intégrant des cianobactéries génétiquement modifiées sensibles aux stimuli dans des conceptions volumétriques imprimées en 3D, les scientifiques ont démontré des matériaux biocomposites photosynthétiques programmables capables de produire des résultats fonctionnels, y compris, comme nous l’avons vu, la biodécontamination des eaux des polluants.
Eau propre réduisant tout impact environnemental
Ces cellules sont conçues pour une mort cellulaire induite, afin d’éliminer leur présence lorsque leur activité n’est plus nécessaire, c’est-à-dire une fois leur travail terminé. Cette dernière fonction est très importante pour le bioconfinement et la réduction au minimum de l’impact environnemental, c’est pourquoi nous la mentionnons comme une méthode révolutionnaire en raison de son grand potentiel durable et écologique.
Ces cellules s’autodétruisent lorsqu’elles entrent en contact avec la théophylline, une molécule présente dans le thé et le chocolat. Grâce à cette capacité de l’UCSD, les cellules disparaîtront après avoir accompli leur travail.
Impression 3D du matériau vivant créé
Cette mixture a finalement été introduite dans une imprimante 3D, et ensuite, les chercheurs ont expérimenté différentes géométries pour arriver au design le plus efficace. Ils en ont conclu que la structure la plus adaptée à leurs besoins était une grille.
Cette forme a été choisie car elle a un rapport surface/volume élevé, plaçant la majorité des cyanobactéries près de la surface du matériau pour accéder aux nutriments, aux gaz et à la lumière. La plus grande surface rend le matériau plus efficace pendant le travail de « décontamination ».
C’est fait. L’Allemagne a bloqué la fin du moteur thermique en Europe. Et pourtant cette décision semblait gravée dans le marbre. La messe semblait même être dite. C’est vrai que sans ce revirement de dernière instance, cette semaine encore, l’Europe s’était engagée effectivement à interdire la vente de véhicules thermiques neufs en 2035. Nous étions d’ailleurs le seul continent à avoir pris ce genre de décision.
C’est vrai que c’est un revirement comme on n’en a jamais vu en Europe, vu que ce texte avait été approuvé par la Commission européenne, par les États membres et par le Parlement européen. Et là, les Allemands font tout capoter sous le motif fallacieux de l’une ou l’autre dérogation. Mais en réalité, l’industrie allemande s’est rendu compte qu’elle allait droit dans le mur. En fait, jusqu’ici, ce sont les Italiens qui s’étaient montrés les plus réticents. Ils avaient d’ailleurs obtenu une dérogation appelée Ferrari, qui permettait donc à l’Italie et à son secteur automobile de haut de gamme et de niche, donc moins de 1000 véhicules par an, de bénéficier d’un délai plus long que la date butoir de 2035. On savait aussi que les Polonais et les Bulgares étaient très réticents.
Mais ici, avec le refus de dernière minute des Allemands, ce texte visant à interdire les moteurs thermiques neufs en 2035 ne passera pas car sans l’Allemagne, il n’y a plus de majorité qualifiée. Car pour que le texte passe, il faut l’accord de 55% des États membres qui représentent 65% de la population européenne. Ce revirement de dernière minute ne réjouit personne car il montre une fois de plus que les politiques décident trop souvent sous le coup de l’émotion…
« Nous avons tout perdu » : leur véhicule électrique prend feu en pleine nuit, les flammes se propagent à leur maison et la détruisent en 10 minutes
La maison a été ravagée par les flammes en 10 minutes. Pixabay – Николай Егошин
La famille dormait lorsque l’incendie s’est déclaré et ce sont donc des témoins passant devant la maison qui les ont réveillés.
Une famille de cinq personnes affirme avoir « tout perdu » après que leur maison a été détruite en 10 minutes à cause d’un incendie qui s’est propagé à partir de leur véhicule électrique.
Le service d’incendie et de secours local a été appelé lundi 2 octobre à 23 h14 pour signaler qu’un fourgon (un Vauxhall Vivaro) était en feu et menaçait une propriété à St Austell, une ville des Cornouailles dans le sud-ouest de l’Angleterre.
« Nous sommes dévastés »
Les Hensby dormaient lorsque l’incendie s’est déclaré. Ce sont des témoins passant devant la maison qui les ont réveillés. Sans eux, la famille affirme qu’elle n’aurait peut-être pas été consciente de l’incendie qui se serait propagé à leur propriété via la borne de recharge électrique située à côté de la porte d’entrée.
« Nous avons tout perdu et nous sommes maintenant dans un hébergement d’urgence. Nous n’avons que les vêtements que nous portons mais nous avons tout perdu dans la maison. Nous sommes dévastés. Je pense que nous sommes toujours sous le choc et très secoués et sursautons à chaque bruit« , a confié Julie, la mère de famille, au Cornwall Live. Tous les membres de cette famille britannique s’en sont tout de même sortis indemnes.
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