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Plus de 20.000 euros à chaque personne qui viendrait s’installer

Dépeuplé, un village suisse propose plus de 20.000 euros à chaque personne qui viendrait s’installer

Un village suisse propose de l’argent à ceux qui viendraient repeupler ses rues.

albinen

Par Laura

Publié le 22 Novembre 2017 à 12h00Temps de lecture 1 min.

Albinen est-il sur le point de devenir un village fantôme ? Avec 241 habitants l’année passée et la fermeture de l’école suite au déménagement de trois familles, c’est bien ce que craint le maire de cette petite commune suisse, près de Leukerbad, dans laquelle de nombreuses habitations sont utilisées comme maisons de vacances.

Offre alléchante

Pour apporter de la vie à Albinen, situé à une demi-heure du site industriel de Viège, les habitants ont lancé une pétition afin de pousser les politiques à réagir. Son maire a donc décidé d’offrir la somme de 25.000 francs suisses (soit plus de 21.400 euros) à chaque personne adulte décidant de s’installer dans le village et 10.000 francs suisses (environ 8596 euros) pour chaque enfant, soit 70.000 francs (plus de 60.000 euros) pour une famille de deux adultes et deux enfants.

Critères

Ceux qui seraient tentés par une nouvelle vie dans cette commune suisse du Valais devront néanmoins répondre à certains critères comme celui d’acheter ou de construire une maison d’au moins 200.000 francs (172.000 euros) qui devra être leur résidence principale. Les nouveaux habitants devront avoir moins 45 ans et rester pendant dix ans à Albinen comme le rapporte The Independent.

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Rouler 100 ans sans faire le plein

Cette voiture peut rouler 100 ans sans plein 

Ce concept-car est unique, il est capable de rouler pendant un siècle sans avoir besoin d’être rechargé en essence ou en électricité. Il fonctionne au thorium. 

Avec cette voiture au design futuriste, plus besoin de passer dans une station essence. Pas de recharge électrique à prévoir non plus, elle fonctionne grâce au thorium. Ce minéral noir découvert en Norvège au XIXe siècle est l’un des plus denses du monde. Il produirait 20 millions de fois plus d’énergie qu’un pièce de taille équivalente de charbon. 8 grammes de thorium suffirait à faire rouler cette voiture pendant un siècle !

Une source d’énergie que l’entreprise Laser Power System a décidé d’exploiter en créant ce concept-car  innovant fonctionnant avec une turbine à thorium. Seul problème, le précieux minerais est radioactif… Le Directeur Général a expliqué au site Mashable : « la dose de radiation est bien plus élevée lors d’une radio dentaire ! » il ajoute qu’une simple feuille d’aluminium suffirait à s’en protéger.

Le thorium serait-il l’énergie du futur ? Pourquoi pas. Il n’est pas rare, on trouve 3 fois plus de thorium que d’uranium dans le sol. Les grands gisements se trouvent essentiellement en Inde (qui accueillerait un tiers des réserves mondiales), en Australie et en Afrique mais on en trouve également en Bretagne! Autre avantage, il produirait moins de déchets que l’uranium.

Plusieurs groupes comme Areva étudient depuis 2013 une possible exploitation du thorium tout en expliquant qu’il s’agira d’une transition lente (pour Areva, il faudra attendre plusieurs décennies avant de l’exploiter.)

le plan de la dernière chance

Hopium : le plan de la dernière chance de la start-up qui se rêvait en « Tesla de l’hydrogène » 

En redressement judiciaire, la jeune pousse qui ambitionnait de commercialiser une voiture à hydrogène a annoncé jeudi le départ du fondateur Olivier Lombard et de nouvelles suppressions de postes

Olivier Lombard avec le prototype de sa berline à hydrogène, la Machina, pendant le Mondial de l'auto à Paris l'an dernier.
Olivier Lombard avec le prototype de sa berline à hydrogène, la Machina, pendant le Mondial de l’auto à Paris l’an dernier. (Romuald Meigneux/SIPA)

Un fondateur qui s’éclipse, une direction resserrée, et de nouvelles suppressions de postes : Hopium, la jeune pousse qui ambitionnait de lancer une berline carburant à l’hydrogène, poursuit son combat pour la survie après son placement en redressement judiciaire en juillet dernier.

Dans un communiqué publié ce jeudi, la société a indiqué qu’Olivier Lombard, le pilote de course qui l’avait créée en 2019, a quitté l’entreprise « pour se consacrer à d’autres activités ». Ses responsabilités avaient été réduites à celles de directeur général adjoint chargé du produit lorsque les premières difficultés étaient apparues fin 2022. Il demeure néanmoins « le premier actionnaire de référence d’Hopium », précise le texte.

Participation à la 43e édition du GITEX

Du 16 au 20 octobre 2023, Hopium participera au GITEX, l’un des plus grands salon dédié aux nouvelles technologies, qui se tient à Dubaï. Sur deux sites couvrant un espace d’exposition de 41 halls, ce salon accueille aussi bien des géants technologiques que des startups révolutionnaires dans les domaines de l’IA, de la cybersécurité, de la mobilité, de la technologie durable et bien plus encore, aux côtés d’investisseurs et d’institutions gouvernementales.

Hopium présentera son système de pile à combustible dernière génération dont le développement a été initié avec le projet Machina, ainsi que ses différentes applications potentielles à destination des marchés de la mobilité, qu’elle soit stationnaire, maritime ou aéronautique.

Pour rappel, Hopium finalise actuellement le développement de ce système de pile à combustible jusqu’au niveau de prototype TRL 6 qui permettra, avant sa commercialisation, de démontrer sa maturité technologique dans un environnement représentatif.

L’autocollant « S » va faire son apparition ?

Qu’est-ce que l’autocollant « S » destiné à être apposé par les seniors sur leur voiture ?

  • L'idée de soumettre les personnes âgées à un test d'aptitude à la conduite revient régulièrement dans la sociétéL’idée de soumettre les personnes âgées à un test d’aptitude à la conduite revient régulièrement dans la société PIXABAY – JONATHANJUDMAIER

Dernièrement, une rumeur a émergé sur les réseaux sociaux selon laquelle un autocollant « S » allait devenir obligatoire pour les conducteurs de plus de 70 ans. S’il n’en est rien, cet autocollant pour les seniors existe bien et peut être utilisé.

Un autocollant S pour les seniors au volant bientôt obligatoire, vraiment ? Une rumeur circulant sur les réseaux sociaux avance que les plus de 70 ans seront bientôt obligés de coller une vignette « S » au dos de leur voiture pour informer les autres conducteurs de leur âge.

Pour les concernés, rassurez-vous, il s’agit d’une infox. Le gouvernement explique sur le site sécurité routière « qu’il n’est pas envisagé de rendre obligatoire l’apposition d’un macaron ‘S’ à l’arrière des voitures conduites par des personnes de plus de 70 ans. »

Une vignette créée en 2016

Cependant, la vignette S existe réellement et il est possible pour les seniors de s’en procurer une. « Les personnes qui estiment utile d’afficher un tel macaron sur leur véhicule sont tout à fait libres de le faire mais il n’y a aucun projet visant à rendre cet affichage obligatoire », peut-on lire sur le site de la sécurité routière. Cette vignette a été créée par un particulier en 2016.

Depuis 2004, il est obligatoire pour les conducteurs novices d’arborer la lettre « A » à l’arrière de leur véhicule pendant trois ans (ou deux s’ils ont fait la conduite accompagnée). Mais il n’a jamais été question de rendre le « S » obligatoire, même si la question du permis des personnes âgées est souvent au cœur des débats.

Les seniors ne créent pas plus d’accidents que les autres

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, les personnes âgées ne provoquent pas plus d’accidents que les autres d’après les statistiques. Ils sont même ceux qui en provoquent le moins. 

Ces derniers sont responsables de 10 % des incidents enregistrés (près de 20 % pour les 18-24 ans), d’après les chiffres de l’Observatoire national interministériel de sécurité routière (ONISR). Cependant, 69 personnes supplémentaires âgées de 65 à 74 ans sont décédées en 2022 par rapport à 2021.

L’étudiant Alexander Burton crée un kit REVR pour répondre à la tendance du rétrofit . Le kit REVR permet d’atteindre une autonomie de 150 km

Alexander Burton, étudiant au RMIT en Australie, avance à grands pas dans le monde de l’électrification des véhicules. À 21 ans, le jeune homme, qui se considère comme un passionné d’ingénierie durable, s’est fait connaître pour son invention baptisée REVR, un kit économique et rapide qui transforme les voitures thermiques en hybrides, qui lui a valu le prix James Dyson.

Aujourd’hui, la tendance à l’électrification, au “retrofit”, et maintenant au REVR, va dans le sens d’une conversion de la mobilité, en raison du niveau élevé des émissions et du prix élevé des véhicules électriques (malgré les aides apportées par les gouvernements pour accéder à ce type de marché automobile).

Kit REVR

Kit REVR sur une Toyota 2003

Ainsi, pour tenter de réduire les émissions et de “démocratiser” l’accès aux véhicules électriques, Burton a conçu un kit qu’il a adapté à une Toyota Corolla de 20 ans, ce qui, en plus de s’inscrire dans la “tendance verte”, permet à la voiture d’avoir une autonomie électrique allant jusqu’à 150 kilomètres.

“Je voulais convertir ma voiture, une Toyota de 20 ans, depuis longtemps, simplement parce que je pense que c’est une bonne idée d’avoir un véhicule électrique, mais ils sont encore chers pour le moment”, a-t-il déclaré lors de la remise du prix, comme le rapporte The Driven.

En ce qui concerne le “rétrofit”, le jeune homme a souligné que “la conversion des voitures à essence en moteurs électriques est souvent un processus long et coûteux, qui implique le remplacement des pièces existantes par des pièces mécaniques sur mesure”.

Cours de Fraude Sociale

Tout à fait Plausible… Ce mercredi, Charlotte d’Ornellas s’attarde sur le cours de fraude sociale dispensé par un YouTubeur.

«1.800 EUROS PAR MOIS SANS RIEN FAIRE» : UN YOUTUBEUR SE VANTE DE FRAUDER LES AIDES SOCIALES, AURORE BERGÉ ORDONNE UN CONTRÔLE À LA CNAF

Postée lundi soir, la vidéo du Youtubeur Mertel expliquant comment frauder les aides sociales a fait scandale sur les réseaux sociaux. La ministre des Solidarités et des Familles, Aurore Bergé, a annoncé ce mardi 19 septembre avoir diligenté un contrôle auprès de la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF).

Un Bad buzz suivi d’une réaction gouvernementale. Le Youtubeur Mertel a créé la polémique en publiant lundi soir une vidéo détaillant comment frauder les aides sociales.

«Si jamais tu as fait une dépression ou une longue dépression, qui t’a conduit à de nombreuses hospitalisations et qui entrave ta vie sociale et ta vie professionnelle, tu peux faire valoir ton burn-out ou ta dépression au titre du handicap psychique auprès de la MDPH (maison départementale pour les personnes handicapés) pour percevoir l’AAH (allocation aux adultes handicapés)», a expliqué ce dernier.

En plus de l’allocation handicapé, le Youtubeur prétend cumuler APL et allocation de solidarité spécifique versées par Pole Emploi pour une somme non négligeable chaque mois : «1.800 euros net qui tombent dans mon compte sans rien foutre, sans bosser», a fanfaronné Mertel. 

«CES CRÉTINS DE SALARIÉS»

Il s’est clairement vanté dans sa vidéo des multiples fraudes réalisées ces dernières années. «Tous ces crétins de salariés qui se lèvent le matin pour travailler, dans leur bulletin de paye, on enlève leur cotisation sociale qui paye mon AAH», a claironné Mertel.

Pour rappel, l’homme au coeur de cette affaire se présente dans ses vidéos comme un expert en drop shipping et en e-commerce. Mertel possède 2.400 abonnés sur sa chaîne Youtube, désormais inaccessible et totalisant 10.000 vues en quatre ans d’existence.

Les distributeurs refusent

Carburant : les distributeurs refusent la vente à perte proposée par l’exécutif

Réunis à Bercy mardi, les acteurs de la grande distribution ont rejeté la solution mise sur la table par l’exécutif afin de pallier la hausse des prix du carburant.Par Joanna Wadel pour Le Point

À l’issue d’un entretien avec Bruno Le Maire à Bercy, ce mardi 19 septembre, les principales enseignes de la grande distribution ont tranché : elles ne revendront pas leur carburant à perte dans les stations essence de leurs magasins. Les géants du secteur préfèrent s’en remettre à la vente au prix coûtant, comme le révèlent nos confrères du Figaro.

Pour justifier leur décision, à rebours du climat économique défavorable aux consommateurs, Carrefour, Système U, Leclerc, Intermarché ou encore Auchan ont estimé que « la possibilité de vente à perte », proposée comme solution par le gouvernement samedi 16 septembre, « ne sera pas suivie car elle n’est économiquement pas tenable ». Ce « nouvel outil », présenté par Élisabeth Borne, devait leur permettre de vendre leur carburant à perte via une loi durant six mois – à compter de décembre –, afin de faire baisser les prix pour les consommateurs et ce, sans nouvelle remise de l’exécutif.

Voici des astuces simples et Gratuites pour …

Voici des astuces simples, faciles à appliquer qui, multipliées par le nombre de pleins annuels permettent de faire de grandes économies. De plus, cela minimisera les pertes et contribuera, à petite échelle, à réduire la pollution.

Astuce 1

Faites le plein de votre auto tôt le matin, quand la température de la terre est plus froide.
Toutes les stations d’essences ont leurs cuves enfouies dans le sol. La terre étant plus froide, la densité de l’essence ou du gazole est moins grande. Par contre, durant la journée, la terre se réchauffe, donc les carburants se dilatent.
Si vous faites le plein l’après-midi ou en soirée, votre litre n’équivaut donc pas à un litre exact.
Dans l’industrie du pétrole, la masse spécifique (densité volumique) et la température jouent un rôle très important.

Astuce 2

Lorsque vous faites le plein, n’engagez pas la manette de pistolet au mode maximum.
La manette ayant trois positions de vitesses (lente, moyenne et rapide), toujours choisir le mode le plus lent, vous en aurez plus pour votre argent. Si nous appliquons cette règle lorsque l’on fait le plein, nous minimisons les vapeurs créées pendant le remplissage.
Tous les tuyaux de raccordement aux pompes ont un retour de vapeur dans la cuve enterrée. Si vous faites le plein et que la manette soit à sa plus haute vitesse, un certain pourcentage du précieux liquide qui entre dans le réservoir de l’auto se vaporisera : les vapeurs ainsi formées retourneront vers la cuve enterrée, avec comme conséquence que vous en aurez moins pour votre argent.

Astuce 3

Un truc très important, c’est de faire le plein de votre réservoir lorsqu’il est encore à moitié plein.
Explication : plus le réservoir est plein, moins il reste d’air. Le carburant s’évapore plus vite que vous ne le pensez. Les grands réservoirs des citernes en raffinerie ont des plafonds flottants à l’intérieur. Il n’y a donc pas d’air entre le carburant et l’atmosphère.
L’évaporation est ainsi minimisée.
Là où je travaille, chaque chargement d’essence dans les camions est soigneusement contrôlé en température de façon que chaque gallon chargé à bord du camion soit exact.

stuce 4

Si vous arrivez à la station pour faire le plein et qu’il y ait un camion-citerne en train de remplir les réservoirs du poste d’essence, ne faites pas le plein à cette station car l’action de remplir les gros réservoirs provoque un brassage dans ceux-ci : si vous le faites, vous risquez de ramasser des saletés dans le carburant !

J’espère que vous en aurez pour votre argent avec ces “trucs” bénéfiques également pour la Terre.

Astuce 5 Roulez à L’eau

Hybridez Votre Moteur à l’eau, comme Plus de 20 000 de nos clients

Prix du carburant : le moteur hybride à eau de cette société cartonne

Un Breton commercialise depuis 2012 un kit hybride à vapeur d’eau (en vente ici : https://hybrido.store/categorie-produit/kit-eco-leau/), qui permet d’améliorer le rendement de n’importe quel moteur thermique. Son carnet de commandes a explosé depuis la hausse des prix à la pompe et l’inventeur compte recruter une dizaine de salariés pour poursuivre le développement de son entreprise.

Par Noah Sdiri

Publié le 01/07/2022 à 14h22 & mis à jour le 01/07/2022 à 16h57

Alors que les prix des carburants flambent, les consommateurs sont en quête de solutions ingénieuses pour réduire leur consommation. C’est le cas du moteur hybride à eau qui, relate France 3 Bretagne le 28 juin, utilise de l’eau pour améliorer le rendement d’un moteur à combustion.

La technologie se présente sous la forme d’un réservoir résistant au gel placé sous le capot, ainsi qu’un petit catalyseur posé sur la ligne d’échappement de moteur. L’échange thermique transforme l’eau en vapeur, qui vient dans les durites d’admission d’air. Selon Laurent Balthazar, l’inventeur du procédé, l’installation du kit qui se dénomme « Eco l’eau » permet de baisser de « 20 % le rendement moteur en moyenne ». « C’est autant d’économie à la pompe et c’est écologique « , souligne-t-il. Selon un client récent, un camping-car équipé du kit en question consommerait « Moins de 10L Avec HYBRIDO contre 12,2 litres pour 100 km auparavant ».

La technologie repose sur le principe du « dopage à l’eau », c’est-à-dire booster le moteur grâce à un réservoir d’eau qui va s’évaporer avec la combustion thermique, et réinjecter de la vapeur dans l’admission d’air. Cela entraînerait un meilleur rendement, et réduirait l’émission de particules polluantes.

Laurent Balthazar, qui a développé son kit en autodidacte « après avoir lu un article de Science et Vie« , affirme que le kit Eco l’Eau permet également de prolonger la durée de vie des moteurs. Face à de telles performances dans un contexte de flambée des prix à la pompe, le carnet de commandes de l’entrepreneur breton affiche complet. Les Témoignages Positifs se comptent par centaines sur tout type de Moteur, SCOOTER, Voiture, Camion, Utilitaire, Camping Car, Bateau, engin de chantier, Tracteur, aéronef… :

Cent installations par semaine

Depuis le mois de mars, on s’arrache le kit Eco l’eau. « J’ai réalisé au mois de mars l’équivalent d’un an de chiffre d’affaires », constate Laurent Balthazar, « et on distribue 100 kits par semaine ». Le succès est tel que la petite PME de 5 salariés, basée à Saint-Sève dans le Finistère, ne peut pas suivre. Le kit est maintenant commercialisé et posé par un réseau d’une vingtaine de garagistes franchisés qui pourrait passer à « 25 ou 30 d’ici septembre, car il y a pas mal de dossiers en cours de signature ».

« Nous sommes débordés », affirme Laurent Balthazar. « Nous sommes 5, et nous devrions passer à 10, mais ce n’est pas facile [de recruter]. » Ce dernier prévoit d’ailleurs de prochainement ouvrir un show-room à Sainte-Sève afin que la technologie puisse acquérir « plus de visibilité ».

L’autodidacte, qui était informaticien de gestion, tient en tout cas sa revanche sur les sceptiques qui doutaient de la viabilité de la technologie. « Cela prend du temps, admet-il, mais on tend vers la crédibilité. »


Echanger de l’eau douce des Alpes contre des hydrocarbures

Échanger de l’eau douce des Alpes contre des hydrocarbures du Moyen-Orient ou d’Afrique. Le projet, dévoilé par les journalistes Vanessa Ratignier et Emmanuel Lévy, a été présenté à l’Élysée en mars dernier. 

En mars dernier à l’Élysée, une dizaine de personnes sont reçues par Alexis Zajdenweber pour discuter d’un projet qui peut paraître invraisemblable : exporter de l’eau douce issue de rivières françaises, contre des hydrocarbures du Moyen-Orient ou d’Afrique.

Cette idée, portée par le négociant pétrolier Xavier Houzel, a mûri dans l’esprit de Claude Rouy, un ancien directeur d‘hôpital qui s’est reconverti comme consultant. Elle part d’un postulat simple : dans les Alpes du Sud, l’eau de la Durance et du Verdon alimentent une centrale hydroélectrique dans la ville de Saint-Chamas avant de se jeter dans l’étang salé de Berre. Problème, explique la journaliste Vanessa Ratignier qui a enquêté pour le journal Marianne : cette eau douce bouleverse totalement l’écosystème de l’étang. Les écologistes ont bataillé pendant plusieurs décennies pour que la centrale déverse moins d’eau dans le bassin.

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