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Transformer le CO2 en CARBURANT
CO2 en carburant est devenu possible

Longtemps utilisés dans les procédés chimiques, les catalyseurs semblent ne pas encore avoir dit leur dernier mot. C’est du moins ce que vient de révéler une équipe de chercheurs du Oak Ridge National Laboratory (ORNL), qui a récemment trouvé une nouvelle méthode pour produire du méthanol à partir de CO2 grâce à des améliorations apportées à ces substances.
En quoi consiste exactement cette nouvelle avancée scientifique ? Comment cela peut-il contribuer à la réduction de la pollution et à la protection de l’environnement ?
Les catalyseurs seraient la clé !
Il s’agit en effet d’une très bonne nouvelle pour la planète, une équipe de scientifiques du ORNL vient d’annoncer ses dernières trouvailles : une nouvelle méthode pour améliorer les catalyseurs et transformer du gaz indésirable en carburant automobile.
Cette découverte pourrait avoir une conséquence majeure sur la réduction des gaz à effet de serre tout en offrant une alternative aux carburants, ce qui constitue actuellement un problème majeur tant sur le plan économique qu’écologique.
Il est essentiel de préciser que les catalyseurs sont des éléments généralement utilisés pour accélérer les réactions chimiques et les rendre plus efficaces. Ils sont notamment employés pour transformer le dioxyde de carbone en méthanol, un carburant pour les voitures.
Comment cela est-il possible ?
Ce n’est pas la toute première fois qu’une équipe de chercheurs tente de développer les catalyseurs au niveau d’un laboratoire. En règle générale, l’amélioration de ce type de substance s’effectue grâce à la combinaison de différents métaux et de supports.
Pour cette fois-ci, les scientifiques de l’ORNL ont opté pour une toute nouvelle approche en prenant l’initiative de modifier les ions dans le support du catalyseur à une échelle atomique plutôt que de transformer simplement les matériaux.
Grâce à cette toute nouvelle tentative du moins innovante, des résultats positifs ont été observés ayant mené à l’augmentation de l’efficacité du processus de transformation de CO2 en méthanol en triplant carrément la production de ce carburant. « Changer les ions du support du catalyseur peut grandement améliorer l’efficacité de la conversion du CO2 en carburants et autres produits chimiques », a déclaré le chef de projet Zili Wu.
Réduction de CO2 grâce aux catalyseurs, une avancée majeure sur le plan écologique
La réduction de la pollution atmosphérique et la neutralisation des gaz à effet de serre étant au cœur de tous les débats ces dernières années, on peut affirmer que cette nouvelle découverte pourrait considérablement contribuer à cette cause.
En effet, grâce à la transformation du CO2 en méthanol, une bonne partie des émissions nocives pourrait être réduite, voire mieux, puisque ce gaz sera réutilisé dans le processus de fabrication d’autres produits chimiques.
Par ailleurs, ce projet innovant n’est pas seulement bénéfique sur le plan écologique, mais également sur le plan économique. En rendant les catalyseurs plus efficaces, il est possible de réduire drastiquement la dépendance aux combustibles fossiles et de diminuer les émissions de GES, réalisant ainsi deux objectifs d’un seul coup.
Faudra-t-il s’attendre à plus ?
Il est essentiel de préciser que cette découverte n’est pas seulement due au travail de l’équipe de l’ORNL, mais aussi à celui de ses collaborateurs. En effet, la recherche a été possible grâce à la contribution d’autres laboratoires et universités, dont on cite Stanford Synchrotron Radiation, le Center for Nanophase Materials Sciences ou encore l’Université de Vanderbilt.
On l’a compris, ce projet n’est pas le fruit du hasard, mais résulte d’un dur labeur qui est loin d’être achevé. En effet, les scientifiques chargés de l’étude continuent activement d’explorer d’autres compositions pour améliorer encore davantage les catalyseurs. Leur objectif est de rendre la découverte encore plus économique en perfectionnant les différentes techniques employées.
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Une machine autonome et mobile, capable de produire entre 500 et 600 litres d’eau par jour
Une machine va produire de l’eau en captant l’humidité de l’air dans la région

Une machine autonome et mobile, capable de produire entre 500 et 600 litres d’eau par jour en captant l’humidité dans l’air, va être installée en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Cette technologie est soutenue par la Région Sud dans le cadre de son Plan « Or Bleu » pour lutter contre la sécheresse.
C’est au cours d’un voyage au Mali il y a 15 ans, dans le pays Dogon, que Philippe Gonin observe des femmes marcher des kilomètres pour ramener de l’eau dans leur village à flanc de falaise. Il se promet alors qu’un jour il montera une société de forage d’eau en Afrique « pour amener de l’eau là où il n’y en a pas ».
Les années se sont écoulées. L’ingénieur a créé son entreprise d’informatique. Mais cet engagement ne l’a pas quitté. Alors, en 2019, il se forme au forage. « C’était très dur physiquement, avec des tiges qui pèsent jusqu’à 80 kilos », se souvient le cinquantenaire.
Dans le même temps, un ami lui apprend l’existence de machines produisant de l’eau à partir de l’humidité de l’air. Dans la foulée, Philippe Gonin lance sa société Airdrink, qui recense « les meilleures machines sur le marché ». Il les vend entre 1 500 et 200 000 euros, en fonction de leur taille, avec une capacité de production d’eau pouvant aller jusqu’à 10 m3 par jour.
Le fonctionnement de ce générateur d’eau atmosphérique « est simple » soutient l’entrepreneur. On aspire de l’air avec un ventilateur. L’air est ensuite refroidi grâce à un petit frigo qui comprime du gaz stocké dans la machine. L’eau se condense en gouttelettes qui sont récupérées, filtrées puis reminéralisées.
Une capacité de production de 500 à 600 litres par jour
En 2023, l’ingénieur rencontre un fournisseur en Israël avec Renaud Muselier, président de la Région Sud. Convaincu par cette technologie dans le cadre de son plan Or Bleu, lancé en mars dernier pour anticiper les effets de la sécheresse, la collectivité a ensuite commandé à Philippe Gonin un démonstrateur mobile en janvier dernier.
En quatre mois, le chef d’entreprise a peaufiné son projet baptisé « La Tulipe » qui entrera en fonctionnement courant juin. Cette machine, fabriquée par le constructeur espagnol Genaq, sera autonome en énergie et alimentée par 14 panneaux photovoltaïques, installés sur une remorque spécialement conçue par le métallier Métal pro concept à Auriol.
La production d’électricité en journée permettra ainsi de faire fonctionner la machine de jour comme de nuit, grâce à l’énergie stockée dans cinq batteries annexes.
En revanche, il existe plusieurs conditions à son utilisation. La Tulipe doit être installée dans un environnement à minimum 15 degrés avec un taux d’humidité supérieur à 30%. Pour produire entre 500 et 600 litres par jour, les conditions sont plus drastiques : la température doit avoisiner les 26 degrés et le taux d’humidité être supérieur à 80%.

Des freins réglementaires en France
Pour Philippe Gonin, « la course technologique, c’est avant tout de fabriquer de l’eau avec un minimum d’énergie ». En effet, si l’eau coûte cher à produire alors elle ne sera pas viable économiquement.
Cette technologie est répandue au Moyen-Orient, notamment à Dubaï ou aux Emirats arabes unis, car l’eau y est rare. Mais, en France, l’eau d’origine atmosphérique n’a pas obtenu les autorisations de l’Agence régionale de santé (ARS) pour être potable. « Partout ailleurs en Europe, comme en Italie et en Espagne, c’est autorisé. Mais chez nous ça traine… », regrette le patron.
Ce dernier donne l’exemple, en 2020, de la pénurie d’eau dans la Vallée de la Roya (Alpes-Maritimes) à la suite du passage dévastateur de la tempête Alex. Pour répondre à cette situation dramatique, le Prince Albert de Monaco souhaitait offrir une de ces machines à la France. Mais « le préfet avait refusé », rappelle Philippe Gonin.
Pour accélérer les autorisations, la Région Sud échange régulièrement avec les ARS notamment dans le but d’anticiper son expérimentation sur la réutilisation des eaux usées.
Alimenter les petites communes en eau
En attendant, Philippe les commercialise au secteur privé. Ses clients actuels sont plutôt basés dans les DOM-TOM pour arroser les espaces verts et nettoyer la voirie. « En particulier à Mayotte où les nappes phréatiques sont amoindries », assure-t-il.
L’entrepreneur a aussi, en parallèle, créé l’association Airdrink.org pour déployer des machines au Togo et à Madagascar. Une initiative financièrement soutenue par le Département des Bouches-du-Rhône et la Métropole Aix-Marseille-Provence.
Au niveau local, son dessein est de faire connaître le concept. Et, à terme, de l’implanter dans toutes les communes, terrains agricoles, maisons qui seraient éloignées de la ressource en eau. « Beaucoup de petites communes comme Fayence dans le Var sont touchées par un stress hydrique. Contrairement aux grandes villes comme Marseille qui sont alimentées par la Durance et la société du Canal de Provence », explique l’expert.
Le projet « La Tulipe » sera d’ailleurs mobile. Ce démonstrateur passera de commune en commune pour être testé, puis adopté par celles qui le souhaitent.
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Transformer les déchets plastiques en carburant
Kinshasa : Inès Mungazi transforme les déchets plastiques en carburant
Photo/ Droits tiers
Dans le souci de voir la RDC émerger, particulièrement la ville de Kinshasa qui connaît des problèmes de pollution, Inès Mungazi, ingénieure en génie électrique, a mis sur pied la machine Transplaca qui permet de transformer les déchets plastiques en carburant.
Armée de sa passion pour l’ingénierie et de sa volonté de créer un impact positif, Ines Mungazi et son équipe collectent les déchets plastiques dans les rues de Kinshasa, les trient, nettoient et les transforment grâce à la pyrolyse en carburant qui peut être utilisé pour les véhicules et les générateurs électriques.
Transplaca a une capacité de production de 100 litres de carburant à raison de 100 kg de déchets plastiques. La difficulté majeure que rencontrent Inès Mungazi et son équipe reste jusque là celle de convaincre la population congolaise, en particulier kinoise, d’adhérer à cette solution qui contribue à la lutte contre l’insalubrité et à la protection de l’environnement.
Âgée de 22 ans, l’ingénieur dit travailler avec quelques autorités congolaises pour relever ce défi et étendre ses productions sur tout le territoire national. Les démarches sont également en cours pour signer des partenariats avec différentes sociétés de ramassage des déchets pour une production en quantité, a-t-elle souligné.
Cette initiative ne se veut pas seulement une résolution au problème des déchets plastiques à Kinshasa, mais offre également une solution concrète pour répondre aux besoins énergétiques croissants de la RDC.
Grâce à cette production, Inès Mungazi a déjà remporté le prix Afrokin, le prix orange de l’entrepreneur social de l’Afrique et du Moyen-Orient, notamment le 2e prix et le prix spécial féminin, ainsi que le prix de la meilleure innovation féminine verte en 2023.

Nancy Clémence Tshimueneka
la centrale à charbon de Saint-Avold reprend du service
Énergie : la centrale à charbon de Saint-Avold reprend du service… pour nos voisins européens

La centrale thermique Émile Huchet de Saint-Avold (Moselle) redémarre mardi 12 novembre 2024. Cette information est confirmée ce mardi matin par GazelÉnergie.
Ce redémarrage fait suite à la demande du réseau de transport d’électricité (RTE). Le prix actuel du mégawattheure sur le marché rend la centrale compétitive. Émile Huchet dispose encore des compétences indispensables avec 90 salariés. Elle a déjà fait, à l’issue d’une période de maintenance, l’objet d’un test de fonctionnement concluant en septembre. Le redémarrage complet de l’installation est tout de même une opération délicate.
par V. F | Reportage : Pierre Gallacio et Julien Clouzeau
Publié hier à 18h15 Source : JT 20h WE
Pour la troisième année consécutive, la centrale de Saint-Avold (Moselle), l’un des deux sites à charbon de l’Hexagone, a repris du service.Mais si elle a repris la production, c’est parce que son électricité va être revendue à des prix très intéressants à nos voisins d’Europe du Nord.Notamment ceux qui ont fait le choix des éoliennes, et qui sont privés de vent depuis plusieurs jours.
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Le cauchemar augmente de 50 %

Rares mais ravageurs: ces incendies de batteries électriques qui inquiètent
Publié il y a 2 heures, mis à jour à 10h38
France Assureurs a organisé un essai pour mieux comprendre les incendies liés aux batteries lithium des voitures, vélos ou trottinettes, susceptibles de se multiplier dans les prochaines années.
Faut-il avoir peur des batteries lithium ? Présentes dans nos voitures, vélos ou trottinettes électriques, elles ont causé plusieurs incidents graves ces dernières années. En février, quelque 900 tonnes de batteries lithium sont ainsi parties en fumée dans l’incendie d’un entrepôt industriel de l’Aveyron. Six mois plus tard, une vingtaine de personnes ont péri dans l’incendie d’une usine coréenne où 35.000 batteries du même type étaient entreposées. Plus largement, les réseaux sociaux regorgent de vidéos sur lesquelles on peut apercevoir divers engins électriques du quotidien se muer en brasier dans des entrepôts, des halls d’immeuble ou des parkings souterrains.
Ces feux, rares mais ravageurs, n’étonnent guère les spécialistes : les batteries en lithium sont composées en partie de liquide électrolytique, un composé hautement inflammable qui fait office de conducteur d’énergie entre les différents éléments d’une batterie.
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Véhicules électriques, smartphones, cigarettes électroniques… Notre quotidien regorge d’objets alimentés par des batteries lithium-ion, dont le pouvoir incendiaire redoutable provoque de plus en plus d’accidents.
Avez-vous un smartphone, un ordinateur portable, des air pods ou une cigarette électronique ? Peut-être disposez-vous d’une trottinette, d’un vélo ou d’une voiture électrique ? Il est fort à parier que tous ces objets contiennent des batteries lithium-ion. Une source d’énergie devenue incontournable, qui s’est implantée dans nos quotidiens en quelques années.
« Elles disposent d’une densité énergétique remarquable : à poids équivalent, aucune autre technologie de batterie ne réussit à enfermer autant d’énergie », explique Damien Roubineau, expert en nouvelles énergies au Centre national de prévention et de protection (CNPP). Au point que leurs inventeurs ont remporté le prix Nobel de chimie en 2019.
Une technologie qui a aussi promis de révolutionner nos mobilités. Résultat : les industries s’en emparent et des « gigafactories » de batteries au lithium poussent comme des champignons à travers l’Europe. Le problème est qu’avec le déferlement de cette technologie autour de nous, le nombre d’incendies devrait augmenter.
Un feu quasi-inextinguible
Scientifiquement, « le concept de risque est défini par la combinaison de la probabilité qu’un évènement dangereux survienne et de la gravité de ses conséquences », explique Damien Roubineau. Heureusement, la probabilité d’occurrence d’un emballement thermique responsable de l’embrasement des batteries reste très faible, dit-il d’emblée.
« Ce phénomène est essentiellement déclenché par un choc, dit le lieutenant-colonel des sapeurs-pompiers professionnels Alain Laratta. Mais, cela peut aussi être lié à une surcharge, à un défaut de fabrication ou à une agression thermique extérieure. » Une fois le processus lancé, il est impossible de l’arrêter. La chaleur produite va alors brûler la batterie elle-même, mais aussi son environnement : la poubelle, la table de nuit, le garage…
Il faudra alors le savoir-faire des pompiers pour limiter la propagation des flammes, à défaut de pouvoir éteindre la source. Ainsi, le risque incendie d’une voiture électrique sur une route isolée sera très différent de celui d’une voiture garée dans un parking souterrain dont l’embrasement pourra menacer de se propager à d’autres véhicules, de fragiliser le bâtiment et d’ensevelir les équipes de secours.
comment éviter l’arnaque ?
De faux QR codes placés sur les bornes de parking: comment éviter l’arnaque ?
C’est une nouvelle technique d’arnaque repérée à Bruges. De faux QR codes ont été placés sur plusieurs bornes de parking. Une fois scannés, ils vous redirigent vers un faux site web vous demandant les détails de votre carte bancaire. Alexandre Pluvinage, expert en cybersécurité, donne quelques conseils pour éviter l’arnaque.
Les arnaqueurs font preuve d’une grande créativité pour inventer de nouvelles techniques. Cette fois, une fraude a été repérée à Bruges : des faux QR codes ont été placés sur plusieurs bornes de parking. Une fois scannés, ces QR codes redirigent vers un faux site web demandant vos informations bancaires. « Ces QR codes vous transportent du monde réel au monde en ligne, où les fraudeurs nous attendent. Après avoir scanné, on arrive soit sur un faux site, soit sur un faux app-store pour télécharger une application malveillante« , explique Alexandre Pluvinage, expert en cybersécurité.
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Cette nouvelle arnaque est préoccupante, car les QR codes sont omniprésents. On se souvient notamment du « Covid Safe Ticket » sous forme de QR code pendant la crise sanitaire. « Les fraudeurs utilisent cette technique parce que beaucoup de gens ne sont pas encore bien informés ou habitués à l’idée que cela peut être une fraude« , ajoute l’expert.
Eco-Low.eu Espagnol

En español Combustión Húmeda En Admisión. Http://eco-low.eu
Un sistema de recuperación del calor de los gases de escape es un dispositivo del sector del transporte que recupera parte de las pérdidas térmicas de los gases de escape (¡2/3 de este calor se pierde en la atmósfera!) para transformarlas en energía. Esta tecnología parece estar generando un interés creciente entre los fabricantes de automóviles y vehículos pesados, que están cada vez más obligados legal y económicamente a reducir el consumo de los vehículos y sus emisiones de CO21. Este dispositivo se puede utilizar en un vehículo híbrido o convencional,
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Moteur à eau : fantasme ou réalité ?
Moteur à eau : fantasme ou réalité ? Tout ce qu’il faut savoir [VIDEO]
- par Eco Leau
- •
- 14 déc., 2017
MOTEUR A EAU – Et si l’eau était la solution miracle aux problèmes de consommation et de pollution ? L’expert de la voiture verte, Jean-Luc Moreau, se penche sur la technologie de l’injection d’eau et évalue les chances de voir les moteurs thermiques fonctionner avec ce système innovant.
Moteur à eau : fantasme ou réalité ? Tout ce qu’il faut savoir [VIDEO]
- La BMW M4 GTS 2016 est le première voiture de série équipée du système d’injection d’eau de …
MOTEUR A EAU – Et si l’eau était la solution miracle aux problèmes de consommation et de pollution ? L’expert de la voiture verte, Jean-Luc Moreau, se penche sur la technologie de l’injection d’eau et évalue les chances de voir les moteurs thermiques fonctionner avec ce système innovant.
MOTEUR A EAU – Plutôt que de “moteur à eau”, il faut parler de “dopage à l’eau”. L’idée n’est pas nouvelle, mais la recherche d’un meilleur rendement et d’une combustion plus propre la ramène sur le devant de la scène. Historiquement, le procédé a été découvert par les premiers motoristes, entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe. On peut citer, notamment, les travaux des ingénieurs français Pierre Clerget (1901) et Paul Sabatier (dans les années 1920). Durant la Seconde Guerre mondiale, des systèmes d’injections d’eau ont équipé certains Messerschmitt BF109allemands. Le NACA (National Advisory Committee for Aeronautics) américain y a consacré deux volumineux rapports en 1942 et 1944, aujourd’hui disponibles sur Internet . Durant les années 1970-1980, un kit d’injection d’eau “Vix” a même été commercialisé auprès du grand public. Il diminuait de manière probante consommation et pollution.
Les industriels de l’automobile, constructeurs en tête, connaissent donc le principe de l’injection d’eau dans un moteur et ses effets. Son fonctionnement est simple. Il consiste à injecter un pourcentage d’eau sous forme de vapeur ou de fines gouttelettes dans le mélange air-carburant. Sous l’action de la température, la vapeur d’eau réagit avec les imbrûlés (carbone incandescent) et le CO, avec, pour conséquence : la réduction de la température du front de flamme améliorant le rendement de combustion. L’injection d’eau augmente “virtuellement” l’indice d’octane du mélange, dans le cas d’un moteur essence (meilleure résistance à la compression), ou de cétane, dans le cas d’un moteur diesel (meilleure combustion). L’eau a également un effet de refroidissement des pièces internes du moteur (piston et cylindre). C’est le but recherché par les kits d’injection d’eau en rallye.
Il en résulte une “dépollution” spectaculaire (particules imbrûlées, CO, NOx) et une économie de carburant pouvant atteindre 25 % en usage intensif (sur une voiture de course, par exemple). Autre bénéfice indirect de l’injection d’eau sur un moteur à essence : elle permet d’augmenter le taux de compression, l’avance à l’allumage et, dans le cas d’un moteur turbo, la pression de suralimentation. Bref, d’accroître la puissance. Des atouts que BMW expérimente actuellement sur certains moteurs.
BMW se mouille le premier
Après avoir testé l’injection d’eau sur la M4 utilisée comme Safety car en Moto GP , le constructeur bavarois l’éprouve aujourd’hui sur des moteurs de grande série. Le premier a en être équipé est le nouveau 3-cylindres, 1.5 turbo des Mini, Série 1, Série 2 et de la très exclusive i8. Sur le premier prototype, monté dans une Série 1, l’eau est injectée, à la fois, dans la tubulure d’admission et directement dans la chambre de combustion. Dans l’air d’admission, les fines gouttelettes permettent, en s’évaporant, d’abaisser la température de l’air comprimé par le turbo de 25 °C. L’air plus froid étant plus dense, il favorise la combustion. Mélangé au carburant en amont des injecteurs, l’eau réduit aussi la température lors de la phase de compression. Ces deux effets conjugués limitent la formation d’oxyde d’azote (NOx), repoussent l’apparition du cliquetis (auto-allumage du mélange, destructeur pour le moteur) et évitent de recourir à un enrichissement du mélange air/carburant en pleine charge. En clair, puissance et couple grimpent de 10 % (218 ch pour 320 Nm), tandis que la consommation baisse de 10 à 15 % en usage réel (ce qui correspond aux valeurs d’homologation du prochain cycle WLTP ) ; cette motorisation répondant aux futures normes antipollution sans qu’un système de post-traitement des gaz d’échappement soit nécessaire.
Évidemment, il faut de l’eau en plus de l’essence. Précisément : 3 litres d’eau pour 7 litres d’essence. On peut faire le plein des deux à la station-service, mais pour ne pas s’alourdir en transportant trop d’eau, celle-ci est récupérée au niveau de l’évaporateur du système de climatisation. Dans la majorité des cas, l’eau résultant de la condensation devrait suffire, un réservoir tampon (5 l) sera, de toute manière disponible, pour les conditions d’usage exceptionnelles.
Ce système très prometteur a toutes les chances d’arriver rapidement sur nos voitures pour une raison très simple : son coût, presque négligeable. Non seulement le système en lui-même n’est pas très onéreux (une centaine d’euros), mais comme il permet de se passer de filtre à particules (sur les moteurs à injection directe d’essence), il n’accroît pas le coût de la voiture. BMW n’est pas la seule marque à travailler sur le sujet. Renault a déposé, en décembre 2005, un brevet au titre très explicite : dispositif d’injection d’eau et de gaz recirculés . À suivre…
Dans l’attente de la sortie de série, Breizh Moteur Vous propose ICI un Kit Prêt à l’emploi (Les Clients économisent en Moyenne 20% de Carburant Essence/Gazole etc…) qui vous pouvez Installer seul ou par le biais de votre Mécanicien/Garage Grâce à la notice Jointe Au Kit.
Ils Economisent des Milliers de Litres de Carburant : Ils roulent à l’eau => Voilà qui pourrait servir l’intérêt des constructeurs pointés du doigt pour la pollution excessive de leurs véhicules. Étonnamment, Seuls Bosch et BMW prévoient de le commercialiser, alors que Renault a déposé un Brevet… Mais il est en vente sur La page d’accueil eco-leau ICI
Interdit par la loi
Laver votre voiture devant chez vous est interdit par la loi et pourrait vous coûter très cher
Vous avez l’habitude de laver votre voiture chez vous ? Ce geste est pourtant interdit et sanctionné par la loi pour une raison bien précise.

S’il est possible de laver sa voiture dans une station de lavage, certaines personnes préfèrent nettoyer leur véhicule chez elles. Cependant, ce geste est interdit par la loi et peut coûter très cher.
Laver sa voiture est un geste à réaliser régulièrement pour assurer le bon entretien de son véhicule. Ainsi, vous limitez la crasse sur la carrosserie et réduisez l’usure du véhicule en le protégeant de la corrosion. Pour cela, il est possible de se rendre dans une station de lavage prévue à cet effet.
Cependant, de nombreuses personnes préfèrent ne pas se déplacer et laver leur voiture directement chez elles, avec un tuyau d’arrosage ou un jet haute pression. Bien que cette pratique soit courante, elle est interdite par la loi, et ce peu importe où vous lavez votre voiture. Voici ce que vous risquez dans cette situation.

Ne lavez pas votre voiture chez vous
Si vous lavez votre voiture chez vous, que ce soit devant votre portail, dans la rue ou dans votre jardin, vous ne respectez pas la loi. À Paris, laver sa voiture chez soi est interdit depuis 1979 et cette réglementation est appliquée dans chaque commune selon les règlements sanitaires mis en place dans chaque agglomération et département. Dans un cadre plus général, Le Point précise que “le lavage des véhicules est interdit sur la voie publique, les berges, ports et quais, ainsi que dans les parcs des jardins publics”.
La raison pour laquelle laver sa voiture chez soi est interdit est simple. Les eaux déversées dans la rue peuvent engendrer une pollution de l’environnement. Comme l’explique Le Figaro, quand vous lavez votre voiture, les eaux usées sont contaminées par des hydrocarbures, des détergents et de l’huile qui vont se déverser directement sur le sol, sans passer par un réseau d’évacuation et de traitement des eaux usées. Ces éléments chimiques vont ensuite se déverser dans les rivières et les fleuves par ruissellement ou infiltration, ce qui est mauvais pour l’environnement.
